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TOURNEE DU CHEF DE L’ETAT EN CASAMANCE : Moustapha Lô Diatta appelle à la mobilisation
Le secrétaire d’Etat à l’Accompagnement et à la Mutualisation des organisations paysannes appelle à la mobilisation de toutes les populations de la Casamance pour qu’un accueil chaleureux soit réservé au président de la République qui effectue une tournée économique dans la région sud du Sénégal

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal  Les experts comptables, commis par la Commission d’instruction de la Crei, pour analyser les relevés des 30 comptes des principaux prévenus dans la traque de biens supposés mal acquis, ont livré les résultats de leur enquête. Il ressort de l’exposé d’Abo Mbaye Sall, expert comptable, que de 2002 à 2013, l’ensemble des mouvements enregistrés sur ces comptes s’élève à environ 99 milliards de francs Cfa. M. Sall a dans le même registre indiqué que sur le compte ouvert au nom de Karim Meissa Wade en 2003, deux versements y ont été effectués, dont un en 2007 de plus de 2 millions de dollars sans que la personne physique ne soit identifiée. Toutefois, l’expert a reconnu qu’un certain nombre de facteurs n’ont pas été déterminés, car se limitant uniquement sur des relevés de compte bancaire.  

Publié dans La Une de la Presse

    Bibo Bourgi, supposé principal «prête-nom» de Karim Wade dans la création des sociétés épinglées par la Crei, ne varie pas d’un iota sur ses précédentes déclarations. Hier, lundi 2 février, pour son troisième jour de comparution d’affilée devant la Crei, il a une fois de plus déclaré que la société Ahs fait partie de son patrimoine et que c’est lui le promoteur de cette entreprise. Mieux, il a indiqué à la Cour que sa présence à la barre se justifie par sa volonté, non seulement de défendre son patrimoine, mais aussi de laver son honneur et non de défendre « Wade fils ».  

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FAITS DU JOUR - GRAND-PLACE DE CE VENDREDI : L’AGRESSEUR RATE SON COUP CONTRE LA COUTURIERE

Le commissariat de police de Guédiawaye a déféré au parquet Amadou Mb, soudeur, pour vol avec violences commis la nuit sur une fille du nom de Diakhar N. Cependant, le mis en cause a réfuté en bloc les accusations et soutient être innocent dans cette affaire.

Amadou Mb a profité de la retransmission en direct du match de football opposant l’équipe du Sénégal à celle du Ghana pour détrousser une couturière. Mais, la fille a tenu tête avant de faire échec à la tentative de vol du malfaiteur.

Publié dans La Une de la Presse
mercredi, 21 janvier 2015 00:00

Procès de Karim WADE, le Juge n'est pas sage !

Nous doutons que l'on puisse n' importe où sur cette terre protéger un être humain si ceux d'entre nous qui,  désignés  Présidents d'une Cour de Justice,  se permettent de prendre des décisions basées sur leur propre opinion bien avant même l'entame du procès. 

Encore une fois,  Henry Grégoire Diop, le Président de la CREI, vient de démontrer son désir absolu de condamner Karim Wade sans preuve aucune car   Macky SALL veut l’écarter de la scène politique pour avoir la possibilité d'un second mandat. 

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Sénégal  Le débat soulevé après les «violences» exercées sur Karim Wade, pour le faire comparaitre de force au tribunal le mercredi dernier connait un nouveau rebondissement. Hier, mardi 20 janvier, le procureur spécial près la Crei a indiqué que, dans le code de procédure pénale du Sénégal, il n’est pas question d’user de la force pour faire comparaitre un prévenu. Une position qui vient rejoindre celle des avocats de la défense, même si par ailleurs, la partie civile campe toujours sur sa position.    

Publié dans La Une de la Presse
vendredi, 16 janvier 2015 00:00

Sénégal - Karim perd la voix

EN BREF - SUD QUOTIDIEN DE CE VENDREDI

VIOLATION DE SES DROITS, AGRESSION ET MANQUE DE SECURITE : Karim entame une diète forcée
Suite à l’agression dont il a fait l’objet avant-hier, mercredi 14 janvier, considérant que ses droits à la défense sont bafoués depuis plus de trois ans, et craignant aussi pour sa sécurité, Karim Wade entame une grève de la faim, depuis le soir de mercredi. Une diète forcée qui ne s’arrêtera tant qu’il ne sera pas rétabli dans ses droits. L’ancien ministre d’Etat l’a fait savoir hier, jeudi 15 janvier, devant la barre, tout en tenant pour responsables le président de la Crei, Henri Grégoire Diop, et le président de la République, Macky sall.

Publié dans La Une de la Presse


Reparlons du procès de Karim Wade et de l'audience d'hier qui a été marquée par l'expulsion de Me Sall de la salle. Pour marquer leur solidaire avec leur confrère, les autres avocats de la défense à l'exception de Me Borso Pouye ont boudé l'audience. Me Pouye n'a pas manqué d'interpeller la Cour surtout après que l'ancien ministre d'Etat a supplié le président Henri Grégoire Diop de suspendre l'audience afin qu'il puisse constituer d'autres avocats pour organiser sa défense. L'avocate de Mbaye Ndiaye s'est adressée à la Cour en ces termes : «J'avais les larmes aux yeux quand je l'ai vu tout à l'heure menotté. J'avoue que je suis perturbée monsieur le président. 

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Sénégal   A la reprise du procès, suspendu pour une pause de 1h30mn, Karim Wade a refusé de revenir dans la salle en l’absence de ses avocats. Face à ce refus les forces de l’ordre le menottent, le malmènent et l’amènent de force dans la salle, devant ses partisans qui n’en revenaient pas. Devant la barre, Karim demande la permission à la Cour de pouvoir s’assoir, car étant blessé au genou. Le procès a été suspendu jusqu’aujourd’hui, le temps que ses conseils reviennent à de meilleurs sentiments ou à défaut, constituer un autre pool d’avocat pour sa défense.   «Je demande à la Cours de me permettre de m’assoir car je suis blessé au genou», a déclaré Karim Wade, hier mercredi 14 janvier, devant la barre. Face au juge de la Crei, l’ancien ministre d’Etat sous Abdoulaye Wade a déclaré avoir été violenté, agressé, brutalisé à l’intérieur du box des accusés par les préposés à la sécurité.

Publié dans La Une de la Presse

Zen depuis l'ouverture de son procès le 31 juillet 2014, Karim Wade a finalement lâché. Selon une source généralement bien informée, Wade fils a craqué grave ce matin devant la barre. Il a versé de chaudes larmes lorsque le juge Henry Grégoire Diop a ordonné qu'on lui file les menottes, selon notre interlocuteur.
Une autre source confie que Karim a voulu se solidariser avec ses avocats qui ont boudé la salle d'audience quand l'un d'eux a été expulsé. Il a refusé de comparaître devant la barre. Et, c'est sur ces entrefaites, qu'il a été "agressé et tabassé" dans la cave par des gardes pénitentiaires. 

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