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mercredi, 28 août 2013 00:00

GO- Les vérités partagées de Mbagnick Ndiaye


A sa nomination, c’est tout unanimement que le monde sportif avait applaudi des deux mains car, le nouveau ministre des Sports est connu pour être un enfant de la balle. Il n’y eut ni contestation, ni coup de Jarnac. Dès que Mbagnick s’assit sur le trône, il ne tarda pas à dérouler son savoir-faire pour ressusciter un secteur moribond. Seulement, ce qu’on avait oublié, c’est que Mbagnick est un homme entier. Un «hombre hecho y derecho», comme disent les Espagnols. 
Et, ce n’est pas avec lui qu’il faut compter pour enterrer la vérité vraie. A la réélection de Me Augustin Senghor, les amateurs du ballon rond l’ont appris, de nouveau, à leurs dépens. Alors qu’ils s’attendaient à ce que le ministre des Sports, comme de tradition, se contente de tresser des lauriers ou distribuer des satisfécits, il a saisi l’occasion pour rappeler que notre foot, qui n’a jamais gagné de trophée de sa vie, ferait mieux maintenant de penser à se prendre en charge, comme un grand. 
Publié dans PEOPLE

SETAL.NET- L’ancien ministre de Me Wade ne croît pas aux retrouvailles de la famille libérale. D’après Thierno Lô c’est cela qui pourrait retarder notre marche vers le développement

Thierno Lô crée un fossé entre les libéraux et lui. Thierno Lô avoue ne point croire aux retrouvailles de la famille libérale. « Je ne crois pas en des retrouvailles d’une famille libérale », laisse entendre Thierno Lô dans l’Observateur repris par Setal.net. 

Publié dans POLITIQUE

Me El Hadj Diouf, l’avocat de l’Etat sénégalais, après un entretien avec le chef de l’Etat au mois de Mars dernier, avait annoncé que Macky Sall, n’est pas hostile à une médiation pénale comme le prévoit la loi, pour permettre à l'Etat de recouvrer ses biens. En substance, si les présumés voleurs sont prêts à rendre 80% des sommes détournées, ils pourraient échapper à la prison et garder les 20% restants. En toile de fond, une idée : un bon accord vaut mieux qu’un mauvais procès. 


La proposition avait aussitôt été démentie par le porte-parole de la présidence Abou Abel Thiam, puis confirmée par le porte-parole du gouvernement Abdou Latif Coulibaly, pour être, une nouvelle fois, démentie par la ministre de la Justice Aminata Touré. 
Publié dans JUSTICE
 
  DIOUMA DIENG «En 1981, un camion nous a percutés mon chauffeur et moi, je me suis retrouvée avec une fracture du sternum, du menton et les mains déchiquetées»
 

L'OBS - Ambassadrice itinérante du Président Macky Sall, la styliste Diouma Dieng Diakhaté, par ailleurs patronne du complexe Shalimar Couture compte pour L’Observateur les 5 dates qui ont marqué sa vie. Du cocasse au dramatique, tout y est.

1970 : «C’était la première fois que je suis entrée dans un avion pour aller en vacances en France. J’étais tellement heureuse que je n’ai pas dormi de la nuit. Le plus cocasse, c’est comme je tiens toujours à mon paraître, je me suis dit que ne descendrai pas à Paris sans prendre une douche. Je suis allée dans la cabine de toilette avec mon gant pour prendre une douche sans me rendre compte que l’eau coulait au dehors. Tout à coup, l’hôtesse a toqué à la porte et m’a demandé ce que je faisais. Je lui ai répondu que je prenais ma douche. Ils ont tous éclaté de rire. Prendre une douche dans un avion ? C’était la première fois qu’ils voyaient cela.

Publié dans La Une de la Presse
La gravité des faits imputés à M. Thiam est telle que l'Ige le voue au glaive de Thémis. L'organe de vérification de la gestion publique demande clairement d'ouvrir une enquête judiciaire contre l'ancien ministre de l'Économie maritime, pour avoir causé au Trésor public un préjudice financier d'au moins 11,659 milliards francs Cfa, dans le cadre de l'octroi d'autorisations de pêche''. 
Publié dans POLITIQUE
 
ADJI MERGANE KANOUTÉ, SG PAR INTERIM DE L’UDS/INNOVATION « Zahra Iyane Thiam n’est plus la secrétaire générale de notre parti»
 

 

Adji Mergane Kanouté invite les membres de la coalition Macky 2012, à laquelle appartient son parti, Uds/Innovation, à travailler à la consolidation de Benno Bokk Yakaar. Il y va de la stabilité du pays, défend-t-elle. Dans cet entretien avec Rewmi, celle qui assure la présidence des femmes de cette coalition de coalitions n’a pas éludé les remous au sein de son parti. C’est pour rappeler qu’elle reste la patronne jusqu’au prochain congrès, au mois d’octobre.


Vous êtes la présidente des femmes de Benno Bokk Yakaar, une coalition où l’écho des querelles de clochers semble monter crescendo au fur et à mesure que s’approchent les Locales. D’aucuns prédisent son éclatement. Partagez-vous ce point de vue ? 

Je ne crois pas à l’éclatement de la coalition Benno Bokk Yakaar, parce que tout simplement, nous avons un président de la République très courageux et intelligent. Il trouve toujours les bonnes formules pour consolider la coalition. Par exemple, le président Macky Sall avait trouvé la bonne formule aux dernières élections législatives. Il en trouvera également une excellente pour les élections locales de 2014, tout en sachant que la stabilité du pays dépend de la cohésion de la coalition Benno Bokk Yakaar. Nous ne voulons pas reprendre les pratiques du président Abdoulaye Wade qui, une fois au pouvoir, a écarté tous ses alliés. Il pensait pouvoir, à lui seul, changer le Sénégal. Les leaders qui ont été poussés à la sortie, se sont organisés à travers des Assises nationales et la mise en place du mouvement du 23 juin (M23). Et tout ce processus-là a amené à la perte du pouvoir du président Abdoulaye Wade. Le président Macky Sall est conscient que la stabilité du pays dépend de la consolidation de Benno Bokk Yakaar, mais également, de l’implication de la société civile, pour son bon fonctionnement. 

Pourtant, au sein de la coalition Macky 2012, l’on prône la rupture avec Benno Bokk Yakaar. Cette position ne risque-t-elle pas de saper votre unité ? 

Mon parti, l’Union pour le développement du Sénégal/Innovation, fait partie de la coalition Macky 2012. Nous sommes les premiers alliés du président Macky Sall. C’est pour cela que nous exhortons mes camarades de coalition à plus de retenue et de mesure. S’ils veulent aider le président Macky Sall dans sa mission de servir le Sénégal, comme ils le disent, il faut qu’ils oublient leurs intérêts personnels et mettent l’intérêt national en avant. Certains leaders de la coalition Macky 2012 n’ont aucune responsabilité, aucune occupation. Et quand un leader n’a pas d’occupation, il passe son temps à faire des déclarations, au grand dam de la cohésion de la coalition Benno Bokk Yakaar. Si le président Macky les responsabilise quelque part, vous ne les entendrez plus faire des sorties à travers les médias. Il faut que les leaders de Macky 2012 sachent que les alliés accompagnent loyalement le président Macky Sall avec qui ils travaillent en parfaite synergie. Ce n’est pas parce qu’on veut obtenir un strapontin qu’on se permet de jeter le discrédit sur une personne. Ce n’est pas parce qu’on a accompagné le président, qu’on est en droit d’attendre quelque chose de lui. Le pays n’est pas un gâteau à partager. 

Pour un Benno Bokk Yakaar fort, d’aucuns préconisent que les leaders des coalitions Benno Siggil Senegaal, Idy4 président, Benno ak Tanor et Macky 2012 se fondent dans la coalition Benno Bokk Yakaar. Est-ce la solution pour vous ? 

C’est l’idéal que l’on puisse dépasser les coalitions Benno Sigguil Sénégal, Idy4 président, Benno ak Tanor et Macky 2012 pour être une seule et unique coalition. Au niveau des femmes, nous travaillons dans cette dynamique et nous oublions même des fois nos coalitions d’origine, parce qu’on est devenues liées et nous travaillons en synergie. Nous menons même des activités sociales en direction des populations démunies. Les gens pensent que nous passons tout notre temps à faire de la politique. Nous saluons la disponibilité des femmes ministres, députés et directrices de société de Benno Book Yaakaar. Elles font des descentes régulières au niveau de la base. Ces visites réconfortent les militantes qui se sont battues contre le régime libéral. Et cette même coordination doit se faire sentir au niveau des autres sensibilités. Et cela va faire moins de frustrations dans les différentes instances. 

L’actualité politique, c’est aussi la traque aux biens supposés mal acquis. Quelle est votre position, par rapport à ce dossier ? 

Nous soutenons sans réserve cette traque aux biens mal acquis. Parce qu’il y avait beaucoup de bruits sur la mauvaise gestion de l’ancien régime. Il faut laisser la justice faire son travail. Il n’est pas normal que les deniers publics soient utilisés par quelques personnes à d’autres fins. Si les personnes poursuivies sont coupables, nous demandons une punition exemplaire, pour que demain de telles pratiques ne se reproduisent plus demain. 

Le Psds dit que vous protégez certaines personnalités qui vous ont rejoint tout dernièrement. Partagez-vous cet avis ? 

On ne protège personne. Nous irons jusqu’au bout. Parce que c’est l’une des raisons du changement. Le Président a dit clairement qu’il ne va protéger personne. L’ancien directeur général de la Lonase, Baïla Wane, qui nous a rejoints a été cité dans une malversation financière. Mais, il a été arrêté puis emprisonné. M. Wane a obtenu une liberté provisoire à cause de son état de santé. Donc, cette traque est valable pour tout le monde, y compris Karim Wade et compagnie parce que la loi est, par nature, impersonnelle. 

«Zahra Iyane Thiam n’est plus la Secrétaire générale de l’Uds/Innovation. Elle sera convoquée en tant que simple militante au prochain congrès du parti». 


Parlons de votre formation politique, l’Uds/Innovation. Deux camps, le vôtre et celui de Zahra Iyane Thiam, se battent pour le contrôle de la direction. Un congrès a été convoqué au mois d’octobre pour vider le contentieux. Comment en êtes-vous arrivés à cette fissure ? 

L’Union pour le développement du Sénégal/Innovation a 7 ans d’existence. Le parti a été créé par des jeunes issus du mouvement associatif. Et Zahra Iyane Thiam était l’une des personnes qui faisait la politique, parce qu’étant responsable du parti Rewmi d’Idrissa Seck au niveau de la Sicap. Vu son expérience en politique, nous l’avons mise à la tête de notre parti. Mais, le parti n’appartient à personne. Autre précision : Zahra Iyane Thiam est restée plus de six mois sans assister aux réunions. Nous pouvions attendre le congrès pour la faire remplacer, à cause de ces manquements. Et plus grave, elle prend des décisions et des positions, au nom du parti, sans consulter son secrétariat exécutif. Face à ces fautes lourdes, nous avons appliqué l’article 24 de notre parti, qui stipule, en cas de vacance de poste ou d’abandon pendant 6 mois, que l’Assemblée générale peut valablement remplacer la secrétaire générale. C’est un verrou que nous avons, ensemble, mis dans les lois et règlements du parti et en général, on ne retrouve pas ces genres d’articles dans d’autres formations politiques. Elle a été remplacée d’une manière régulière et officielle par les instances du parti. Dans ce cas, nous le répétons encore : Zahra Iyane Thiam n’est plus la secrétaire générale de l’Uds/Innovation. Et je suis devenue secrétaire générale par intérim. 

Ignorant cette décision, Zahra Iyane Thiam est allée jusqu’à exclure certains parmi vous de la formation. N’est-ce pas la preuve qu’elle détient encore le pouvoir ? 

Elle est libre de contester, mais elle ne peut pas nous empêcher de travailler pour massifier le parti. C’est vrai, elle a fait une déclaration disant exclure du parti le numéro 2, Amadou Oumar Guèye, ensuite, la secrétaire politique, numéro 3, ma modeste personne, et le numéro 4, qui est chargé de la communication et porte-parole du parti, Abdourahmane Sow, etc. Nous, on ne l’a pas exclue, mais on l’a fait remplacer, en se basant sur les textes et régalements du parti. Et nous avons informé le ministre de l’Intérieur, étape par étape, de ces changements intervenus au mois de novembre dernier. 

Et comment fonctionne le parti dans cette atmosphère de division ? 

Le parti fonctionne normalement. Nous nous réunissons tous les jours au siège habituel et légalement reconnu du parti. Nous sommes en contacts permanant avec les secrétaires généraux de tous les départements du Sénégal. Et si elle a une tranche avec elle, ça doit être sa propre famille. Parce que tous les membres du bureau national et des régions sont avec nous. 

Est-ce que le congrès aura lieu ? 

Nous irons au congrès au mois d’octobre et Zahra sera convoquée, en tant que simple militante, parce que nous ne l’avons pas exclue du parti. Nous y travaillons en parfaite en harmonie avec les secrétaires régionaux. Dans ce cas, il n’y pas de flou, parce que tout se passe normalement. 

Entretien réalisé par 
Khalil DIEME
 

source: http://www.rewmi.com/ADJI-MERGANE-KANOUTE-SG-PAR-INTERIM-DE-L-UDS-INNOVATION-Zahra-Iyane-Thiam-n-est-plus-la-secretaire-generale-de-notre_a81721.html
Publié dans La Une de la Presse

 

Le couple Ameth Khalifa Niasse et Yaye fatou Diagne bat de l’aile. Mais le marabout rejette toute idée de divorce et parle plutôt de « scène de ménage », extrait de l’interview qu’il a accordée à Enquête

« Il est plus décent de parler de scène de ménage. Même notre Prophète (Psl) avait des scènes de ménage qui sont écrites et qui aujourd’hui font école en la matière. Pour être honnête, on ne peut pas parler de divorce si la femme ne l’a pas demandé au juge. 

Publié dans PEOPLE

 
« Il est impossible de sortir l’eau d’ici…Partez… Méfiez-vous des radios, des télévisions de la presse en général, cela ne sert à rien »»
 

Les populations qui n’ont pas été ratées par les fortes pluies enregistrées depuis début du mois d’août ne sont pas au bout de leurs peines. Déjà zappées par le président de la République Macky Sall lors de sa visite de vendredi dernier, « il est impossible de sortir l’eau d’ici. C’est dans une cuvette que vous êtes venus habiter. Prenez vos bagages et partez vous réfugier quelque part en attendant la fin des inondations »,

Publié dans La Une de la Presse
 
« La commande publique doit être orientée vers le mobilier national »
 

La complainte des artisans sénégalais, serait-elle en train de trouver échos favorable ? La sortie hier du ministre de la formation professionnelle de l'apprentissage et de l'artisanat semble répondre par l'affirmative. Selon Mamadou Talla, la commande publique doit être orientée vers le mobilier national pour favoriser le développement de l'artisanat local. Dix huit milliard de francs Cfa passent chaque année sous le nez des menuisiers sénégalais au profit des meubles importés, d'autant que les institutions de la République s'équipent avec de l'importé. 

Publié dans La Une de la Presse
 
Macky Sall : « Je n’avais pas nommé mon Premier ministre Abdoul Mbaye en prenant en compte l’affaire Habré, mais si...»
 

Le président de la République a accordé une interview avec le bimensule américain Foreign affairs à la veille de la visite de Barack Obama. Dans l’entretien Macky Sall a été interpellé sur l’affaire Hissène Habré et les implications du Premier ministre dans ce dossier. Extrait publié par Le Quotidien

«Je n’avais  pas nommé mon Premier ministre (Abdoul Mbaye) en prenant en compte l’affaire Habré.

Publié dans La Une de la Presse