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Mer, Mai
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Il paraît que le compte à rebours a commencé pour Karim Wade et que ses avocats ont trois jours francs pour consulter son dossier et préparer sa défense. C'est la presse qui nous l'apprend. A mon sens, le compte à rebours pour Karim a commencé bien avant sa première mise en demeure en avril 2013. Il a commencé bien avant même mars 2012, date à laquelle le Président Wade a été battu aux élections. Le compte à rebours a commencé pour Karim Wade le jour de l'accession de Maître Abdoulaye Wade au pouvoir, un certain 19 mars 2000. Son père devenu Président, Karim devenait aussi fils de... Et depuis...La presse, revenons-en et restons un peu avec elle, puisse que c'est d'elle qu'il s'agit encore. 

Publié dans News

L'Afrique, c'est connu, est le continent qui enregistre  les statistiques les plus alarmants sur la pauvreté, les maladies et le sous développement. Les crises alimentaires qui y sévissent, les guerres qui s'y déroulent et les injustices exacerbées  qui la déstabilise, ont fini de cantonner l'Afrique dans une forme d'impuissance définitive à maîtriser son destin. Le Sénégal, pays stable, qui était si bien parti, est, comme la plupart des pays du continent, toujours enserré dans la fatalité du sous développement économique. Où que nous regardions, nous ne voyons nulle part un début de décollage. Certes, il y a des améliorations significatives dans la survivance et certains indicateurs du développement, mais rien de structurellement déterminant pour mettre définitivement  le pays sur la voie du progrès social.  Alors la faute à quoi ? A la gouvernance, répondrai-je. La faute à qui ? A nos dirigeants politiques, dirai-je.

Publié dans News

Mohamed Fall, plus connu sous son nom de scène « 10 000 Problèmes », retient un certain nombre de griefs à l’encontre du président de la République à qui il reproche de ne pas tenir ses engagements vis-à-vis du peuple sénégalais. 

Publié dans PEOPLE

C’est un Cheikh Tidiane Gadio qui accueille dans son bureau de l’Institut panafricain de stratégies (Ips), en boubou blanc, «dans l’air de Maouloud», sourit-il à ses collaborateurs. Ce panafricaniste jusque dans ses portraits de Nkrumah et autres qui ornent les murs, aborde les crises au Mali, en Centrafrique et ailleurs avec conviction, mais surtout avec l’habileté diplomatique qu’il faut. Normal pour un ex-ministre des Affaires étrangères qui n’est pas à l’ex-térieur des indiscrétions étranges. Par exemple, il dit avoir appris qu’en Lybie, il y a un camp d’entraînement où la langue dominante est le wolof. Dans ce premier jet de l’entretien, M. Gadio revient sur la rencontre des ambassadeurs et consuls à laquelle il n’a pu assister. Un «incident malheureux», qu’il regrette et met sous le compte d’un protocole qui a mal fonctionné.

Publié dans POLITIQUE

Serigne Modou Kara : « le Bambisme est l’unique voie qui peut développer le pays »

Pour sortir des crises, le Sénégal doit se référer au projet de société du fondateur du mouridisme. Telle est la conviction du chef religieux Serigne Modou Kara Mbacké. Dans une interview accordée au quotidien La Tribune, le marabout confie qu’à l’état actuel des choses, une solution ne peut émaner que de Cheikh Ahmadou Bamba. « (…) Je l’ai toujours dit et je le dirai toujours. La solution réside en Serigne Touba et non pas chez les politiques qui gouvernent actuellement le Sénégal et qui sont en train de mettre en œuvre une réforme des institutions du pays. Qu’on aille prendre le projet de société de Serigne Touba, c’est ce qui marchera pour nous Sénégalais. Le ‘Bambisme’ est l’unique voie qui peut développer le pays. Sans lui, jamais vous n’entendrez parler de développement au Sénégal », tente-t-il de convaincre. 

Publié dans ÉCONOMIE

NETTALI.NET - Revenant sur les conséquences de la démission de « Rewmi » de la coalition présidentielle, Ibrahima Sène, membre du comité directeur du Pit a semblé adopter la même posture de minimisation que les autres membres de la coalition BBY.

Publié dans POLITIQUE

Lors de son interview aujourd’hui sur Rfi, la star planétaire dévoile le pourquoi de son implication dans le monde politique.

Publié dans PODCASTS

NETTALI.NET - Invité à l’émission « Sortie » diffusée sur Walf Tv, ce dimanche 15 Septembre, le député avocat Me El hadji Diouf a assimilé le limogeage de l’Ex premier ministre Abdoul Mbaye comme étant le résultat d’une manipulation orchestrée par la nouvelle nommée « Mimi Touré ».


« Aminata Touré est certes une amie avec qui j’ai des relations particulières, mais ça ne m’empêchera pas de dire ce que je pense », a d’emblée déclaré Me El hadji Diouf pour parler du limogeage d’Abdoul Mbaye au profit de cette dernière.

En effet selon l’avocat député qui n’y est pas allé sur le dos de la cuillère « Abdoul Mbaye est cent fois mieux que Mimi Touré. D’abord, c’est le fils de l’illustre magistrat Kéba Mbaye, et ensuite Il a fait des études brillantes dans les grandes écoles de France, avec une carrière tout aussi brillante. Mais malheureusement il a été victime d’un complot ».

Publié dans POLITIQUE

aps.sn

 

Le président de la Commission nationale de la réforme foncière, Me Doudou Ndoye a gelé toutes ses activités au sein de ladite commission. Le manque de moyens financiers, la mise en place  d'un système concurrent à la réforme par l'ancien ministre de la Justice, la vingtaine de correspondances adressées au président Macky Sall restées sans suite, sont passés par là. Me Doudou Ndoye n'a pas manqué de se prononcer sur l'enrichissement illicite prévenant l'embourbement des autorités dans ce dossier.

 

«J’ai décidé de l’arrêt de toutes mes activités au sein de la Commission nationale de la réforme foncière». C’est le président Me Doudou Ndoye qui annonce ainsi le gel toutes ses activités au sein de la Commission nationale de la réforme foncière qu’il présidait jusqu’ici. C’était hier, vendredi, lors d’un point de presse à Dakar. 

Publié dans La Une de la Presse

Serigne Mansour Sy Jamil reconsidère l’appréciation qu’il avait faite sur l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye. Après qu’il avait déploré la nomination d’un banquier à la Primature, le leader de «Bës du niakk» revient pour regretter son limogeage de la station primatorale. Non sans louer les qualités de l’ex-chef du Gouvernement.

Publié dans PEOPLE