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Lun, Mai
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Le Conseil des ministres s’est réuni, hier, jeudi 22 mai 2014, au palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky Sall.

Dans sa communication au Conseil, le président de la République a abordé, dans un premier point, l’évolution des prix à la consommation, en relevant pour s’en féliciter, la baisse de 2,6% enregistrée au premier trimestre 2014, selon la dernière publication de l’Agence nationale de la Statistique et de la Démographie.

Le Chef de l’Etat a rappelé tout son attachement au renforcement de la dynamique de promotion du « consommer local », en favorisant notamment la transformation et la distribution de la production céréalière et horticole. Il a également exprimé au gouvernement, l’intérêt qu’il porte à la bonne réputation des marchés et à la concurrence saine entre les acteurs économiques.

Publié dans La Une de la Presse

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, a présidé hier la cérémonie de signature des contrats de subvention entre son département et les chercheurs et enseignants-chercheurs bénéficiaires du Fonds d’impulsion de la recherche scientifique et technique (First) de l’année 2013.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a financé 10 projets de recherche d’un montant de 185.714.370 FCfa. La signature des contrats de subvention entre ce département ministériel et les chercheurs a eu lieu hier, sous la houlette de Mary Teuw Niane. «L'enveloppe globale libérée pour cette édition 2013 du Fonds d'impulsion de la recherche scientifique et technique (First) est de 185.714.370 FCfa pour le financement de 10 projets retenus à l'issue de l'évaluation faite par la commission financière », a déclaré M. Niane. 

Publié dans La Une de la Presse

Le mouvement d’humeur des étudiants de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar s’est déroulé hier, dans les grandes proportions. En riposte, les Forces de l’ordre ont réagi. Au final, la journée fertile en affrontements laisse un champ de bataille désolé, des étudiants hantés par la peur et des résidents déboussolés.

A première vue, la journée qui s’annonçait hier sur l’avenue Cheikh Anta Diop avait de curieux airs de déjà vu. Les récurrents affrontements entre Forces de l’ordre et étudiants font carrément partie…du décor. Pourtant ce matin-là avait sa surdose de violence à revendre. Les étudiants, excédés par les retards dans le paiement de leurs bourses, par l’absence d’automatisme dans le changement de leur taux de bourse ainsi que quelques autres déboires, avaient, une fois de plus, décidé de franchir le pas, prendre en otage l’avenue Cheikh Anta Diop pour exprimer leurs émotions de l’heure. 

Publié dans La Une de la Presse
L'an dernier, des scientifiques ont créé de la viande en laboratoire à partir de cellules souches de boeuf. Mais il faudra encore beaucoup de temps pour que les consommateurs acceptent de manger ce genre de viande. 
 
Pour la rendre plus attractive, une chercheuse néerlandaise propose de la fabriquer dans des petites usines locales, respectueuses des animaux et de l'environnement. Présenter une innovation scientifique au public ne suffit pas à remporter son adhésion, loin de là. Il y a quelques mois, des chercheurs néerlandais ont présenté le premier hamburger conçu à partir de viande de boeuf élaborée en laboratoire. 
 
Les réactions ont alors été mitigées : fabriquée en laboratoire, ce n'est pas de la vraie viande, ont dit certains. Et pourquoi s’acharner à produire de la viande, même artificielle, alors qu’il est possible de s’en passer, ont relevé d'autres ? 
 
Selon Cor Van Der Weele, professeur de bioéthique et de philosophie des sciences l’Université de Wageningen, le végétarisme ne peut pas devenir une solution globale aux problèmes posés par la production de viande. 
 
Si la chair animale est vouée à faire éternellement partie de notre régime alimentaire, il faut donc trouver de nouvelles manières d’en produire, plus écologiques et respectueuses des animaux. Pour cette scientifique, la viande fabriquée en laboratoire grâce au prélèvement de tissu animal est donc une solution tout à fait envisageable. Mais encore faut-il la faire accepter par le grand public. 
Publié dans News

Pendant que les étudiants des universités publiques sénégalaises réclament à cor et à cri le paiement et la revalorisation de leurs bourses, de nouvelles révélations font état de 2 832 bourses payées indûment dont 1 800 au niveau du troisième cycle. C’est un véritable trafic illicite de bourses qui prévaut ainsi dans le sous-secteur et coûte chaque à l’Etat du Sénégal des milliards. La révélation est du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane. Il se prononçait hier, mercredi 21 mai 2014, face à la presse, sur la question des bourses des étudiants et la situation des campus pédagogiques des universités publiques.

Publié dans La Une de la Presse

BAGUETTE DE PAIN : Le prix baisse, le poids aussi


L’Etat baisse officiellement 20 grammes sur le poids de la baguette de pain. Au lieu de 25 francs, la baguette de pain n’a baissé que de 10 francs. Si le prix de 150 francs Cfa est désormais arrêté par le ministère du Commerce, c’est parce que la baguette aussi a officiellement perdu 20 grammes, passant 210 à 190 grammes. Ça sent l’arnaque. Au lieu de 25 francs Cfa, la baisse sur le prix de la baguette de pain est en vérité de 10 francs Cfa. Selon la Fédération nationale des boulangers du Sénégal (Fnbs) contactée par Wal Fadjri, pour éviter d’annoncer cette petite baisse, l’Etat a convenu avec les différentes parties de baisser le poids de la baguette. Laquelle est passée de 210 grammes à 190 grammes, soit 20 grammes de moins. Et si cela en est ainsi, c’est parce que cette baisse de la farine, obtenue avec la nouvelle homologation du prix du sac de farine à 18 mille francs Cfa, était insignifiante. Car, le gramme de pain qui coûtait 0,83 franc reviendrait désormais à 0,79 franc, pour un pain à 165 francs. Un prix qui n’arrangeait personne, y compris les boulangers, pour une question de praticabilité des prix.

Publié dans La Une de la Presse

Les Sénégalais sont réputés très généreux envers les mendiants, ce qui a d’ailleurs créé un appel d’air qui se manifeste par une présence massive de ces derniers, venus souvent de la sous-région, dans tout le pays et particulièrement à Dakar. Toutefois, on a remarqué que nos compatriotes, même riches, n’innovent pas dans ce domaine et préfèrent généralement donner l’aumône aux mendiants rencontrés dans la rue plutôt que de soutenir par le mécénat des institutions qui sont dans le besoin. Question de culture avec l’instrumentalisation de l’aumône comme protection contre le malheur ou alors simple ignorance, le dossier du "Soleil" répond à ces interrogations.

Publié dans La Une de la Presse

Dans la famille de Cheikh Guèye, le métier semble se transmettre de père en fils. C’est son père, Baba Guèye, artisan-concepteur, qui est son vrai maître. Ce natif de Thiès, auteur de plusieurs inventions, a reçu plusieurs distinctions. Ces travaux ont pour dénominateur commun l’économie d’énergie avec des retombées économiques pour les ménages et l’environnement. 
Cheikh Guèye n’est pas un prophète chez lui. Ce Sénégalais né le 22 février 1957 à Thiès est auteur de plusieurs inventions primées par les organismes internationaux. C’est auprès de son père qu’il a appris les ficelles. Très vite en 1978, une Sénégalaise du nom de Rokhayatou Tall qui revenait du Kenya avec des fourneaux améliorés appelés « Djikko » lui confia la mission de sensibiliser les artisans sénégalais pour qu’ils s’approprient les technologies propres. Mais la dame est décédée un an après. 

Publié dans PEOPLE

Cent ans déjà que la ville de la Médina a été créée (arrêté n° 1467 du 19 Septembre 1914 signé par le Gouverneur William Ponty). L’objectif était de déplacer une partie de la population autochtone du Plateau vers les environs immédiats. Zone de choix, la Médina suscitait alors beaucoup d’envies. Cette convoitise s’explique par deux raisons : d’une part la proximité immédiate avec le centre-ville, d’autre part une architecture de choix qui sortait de l’ordinaire, avec des bâtiments souvent construits sur le modèle typiquement colonial.
Vue d’en haut, la Médina offre un plan d’urbanisation qui sort de l’ordinaire et capte l’attention voire même l’admiration.  La cité, équitablement répartie du Nord au Sud, de l’Est en passant par l’Ouest, dresse un paysage sous forme de damier. Les rues sont construites dans une perspective de droiture et s’érigent de la Rue 1 à 45. Tel est le paysage tracé à la Médina et qui devait, dans le temps, s’inscrire dans une perspective d’amélioration du cadre de vie.

Publié dans La Une de la Presse

Des centaines d’immigrants d’origine subsaharienne ont tenté de franchir en force samedi la frontière qui sépare le Maroc de l’enclave espagnole de Melilla à un endroit où la pression des immigrants ne cesse de croitre depuis le début de l’année, annonce-ton de source gouvernementale.
« Un groupe de quelque cinq cent personnes a tenté de forcer le passage » vers 14 heures (12H00 GMT), a annoncé un porte-parole de la délégation du gouvernement espagnol à Melilla, ville côtière autonome d’Afrique du nord. La police est parvenue à contenir les immigrants et « personne n’est entré » a-t-il souligné, ajoutant qu’une « bonne vingtaine de personnes se sont juchées sur les grilles pendant une demi-heure avant de renoncer et d’être prises en charge par les autorités marocaines ».

Publié dans News