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Macky Sall écarte toute négociation politique
Pour Macky Sall, en démocratie, la justice ne peut pas négocier des accords politiques Les médiateurs dans l’affaire Karim Wade peuvent déchanter. Du moins si on s fie aux propos tenus hier par le chef de l’Etat Macky Sall qui estime qu’évoquer la possibilité d'un accord politique dans le cadre d'un dossier judiciaire, c'est faire insulte à la justice sénégalaise. Macky Sall exprimait hier mardi, dans les colonnes du journal français Le Monde. Macky Sall a aussi répondu aux questions de Charlotte Bozonnet, pour surtout entourer le Pse d’une nouvelle confusion. Le président de la République s’est exprimé, hier mardi, dans les colonnes du journal français Le Monde. Après Abdoulaye Wade qui a usé du médium français pour tenir en haleine ses partisans, Macky Sall a aussi répondu aux questions de Charlotte Bozonnet non sans parler de l’affaire Karim Wade dans laquelle il écarte toute négociation politique. Concernant l’affaire Karim Wade, le président Sall ne laissera pas la journaliste finir sa question.
Isolement de Karim Wade- Les avocats de Karim dénoncent une «violation» et exigent sa cessation immédiate
iGFM (Dakar) L’isolement depuis trois semaines, comme l’écrivaient nos confrères de l’As, par la Crei qui prive Karim Wade de visites de sa famille, de ses proches, amis et soutiens est considéré par ses conseils comme des «actes de tortures au sens du droit international des droits de l’homme». La seule explication donnée sur ce «refus» de délivrer des permis, fustigent les conseils de Karim Wade dans un communiqué, c’est qu’il s’agit d’instructions provenant de la hiérarchie”.
MACKY SALL SUR LA TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS « Evoquer un accord politique, c’est faire insulte à la justice »
«Evoquer la possibilité d’un accord politique dans le cadre d’un dossier judiciaire, c’est faire insulte à la justice sénégalaise», c’est la réponse sèche que le président de la République, Macky Sall, a servi à l’envoyée spéciale du quotidien français Le Monde. Dans cette interview publiée hier, mardi 6 mai 2014, le Chef de l’Etat du Sénégal revient sur l’affaire Habré, la sécurité en Afrique ainsi que la montée du Jihadisme sur le continent.
TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS, DOSSIERS DANGOTE, CHEIKH BETHIO THIOUNE ET LUC NICOLAI.... Les bonnes affaires des robes noires
Au moment où certains citoyens peinent à avoir un avocat pour les défendre, certaines personnalités de la vie publique qui ont maille à partir avec la justice se font assister par plusieurs conseils, voire des cabinets d’avocats. Parmi les dossiers les plus en vue, il y a l’affaire Dangote, Cheikh Béthio Thioune, Karim Wade, Aïda Ndiongue, Luc Nicolaï. Avec leurs portefeuilles bourrés, ce sont les robes noires qui s’en frottent les mains, même si plusieurs avocats pensent que les dossiers médiatisés ne rapportent pas toujours gros.
Révélations de La Lettre du Continent : Détails des PV de l’enquête de France qui ont « blanchi » Karim Wade
L’enquête ouverte par les fins limiers de la Plate-forme d’identification des avoirs criminels de l’Office central pour la répression de la grande délinquance financière, a été infructueuse selon « La Lettre du Continent », qui révèle en exclusivité dans sa dernière édition du 30 avril dernier, des détails des procès-verbaux de police. Selon ceux-ci, Karim Wade détenait quatre comptes bancaires en France entre 1982 et 1995. Il s’agit d’un livret A de la caisse d’épargne d’Ile de France ainsi que d’un compte courant, un plan épargne logement (Pel) et un compte pour le développement industriel (Codevi), tous les trois ouverts dans une agence du Crédit Lyonnais. Ces comptes, toujours selon le journal, ont été fermés en 2003.
Le solde, d’un montant de 66 299,20 euros, a été viré vers l’un des trois nouveaux comptes (dont un livret B), ouverts au nom de Karim Wade, à la Société générale, Place de la Madeleine, à Paris.
L'ex sénatrice conteste la légitimité de la CREI et réfute son enrichissement illicite : Révélations sur la réponse de ses avocats
DAKARACTU.COM - Par l'entremise de Me M'baye Jacques N'diaye, le pool des conseils de l'ex sénatrice a donc déposé hier une missive en guise de réponse à la mise en demeure récemment servie par la Crei à l'ex mairesse des HLM. Une lettre adressée au Procureur Spécial Près la Cour de Répression de l'enrichissement illicite.
Dès l'entame de cette missive, Astou N'diongue (à l'état civil), a tenu à soulever deux exceptions de nullité : d'une part, elle trouve " incompétente ladite Cour ", et d'autre part, celle qui est surnommée Aïda N'diongue déplore " l'illégalité des nouvelles poursuites à son encontre."
HAUTE COUR DE JUSTICE Les juges sont installés
La douzième législature a installé hier, jeudi, les juges titulaires et suppléants de la Haute Cour de justice. Une juridiction chargée de juger le président de la République, le Premier ministre et les membres du gouvernement en cas de haute trahison, de complot contre la sûreté de l’Etat et délits de nature …à désagréger le bien public. Après moult programmations et reports, l’élection des juges parlementaires se serait faite pour donner un nouveau souffle à la traque des biens dits mal acquis et à la reddition des comptes qui ont envoyé pas mal d’anciens ministres libéraux comme Karim Wade en prison.
Un immeuble sis à Paris en passe d’être versé dans le patrimoine de Karim
L'OBS - Le volet Karim Wade dans la traque des biens supposés mal acquis n’est pas totalement fermé. Un autre élément risque de se greffer à son patrimoine.
C’est comme si le dossier de Karim refusait de se fermer définitivement. Après son renvoi, pour jugement, devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), par les magistrats de la Commission d’instruction (Ci) de cette juridiction spéciale, pour enrichissement illicite présumé de 117 milliards FCfa, une autre fenêtre est entrouverte. Une affaire dans laquelle les magistrats de la Commission d’instruction pourraient encore s’engouffrer pour corser le dossier du fils de l’ancien chef de l’Etat sénégalais.
BIENS MAL ACQUIS ET HAUTE COUR DE JUSTICE L’Assemblée nomme ses « juges », jeudi prochain
L’Assemblée nationale se serait-elle enfin décidée à effectuer le renouvellement des membres de la Haute Cour de justice, cette instance spéciale chargée de juger les anciens ministres incriminés dans le cadre de la traque des biens mal acquis mais bénéficiant du privilège de juridiction ? Il semble bien que oui d’autant que la représentation parlementaire a été enfin (re) convoquée pour jeudi prochain afin de procéder à l’élection des juges devant siéger à la Haute Cour. Et cela, après deux renvois consécutifs non justifiés.
CREI - Karim Wade devant les juges dans deux mois : Un Krim de 117 milliards
Les avocats de Karim Wade et Cie ont du grain à moudre. Ils devront dès maintenant s’atteler à démêler les écheveaux de l’Accusation pour tirer d’affaire leurs clients qui sont renvoyés devant la Crei pour jugement par la commission d’instruction de cette juridiction spéciale. Celle-ci vise dans ses accusations contre les prévenus la somme de plus 117 milliards de francs.
Le feuilleton judiciaire que constitue l’affaire Karim Wade et Cie entame une nouvelle saison. Depuis hier, en effet, le traitement de ce dossier a pris une nouvelle tournure. Puisque la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), présidée par le juge Cheikh Tidiane Bèye, n’a pas vraiment traîné en chemin pour ordonner le renvoi des inculpés Karim Meïssa Wade, Mbaye Ndiaye, Mamadou Pouye, Pierre Agboba, Ibrahima Khalil Bourgi et son frère, devant la juridiction spéciale pour leur jugement qui, renseigne-t-on, va intervenir dans deux mois.