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A DEUX SEMAINES DE LA DATE BUTOIR DE LA DEUXIEME MISE DE L’ANCIEN MINISTRE D’ETAT - Wade et Sindiély déclenchent l’opération «sauver Karim»

L'OBS - C’est le 14 avril 2014 que va expirer le délai de la deuxième mise en demeure servie à Karim Wade. Dans cette optique, ses avocats, en collaboration avec sa famille, mettent tout en œuvre pour assurer sa défense. Cela, afin de tirer leur client des griffes de Dame Justice. 

«Que ceux qui étaient là le comprennent ! Ils auront beau gesticuler, ils auront beau inventer, la justice se fera. Donc ceux qui parlent d’acharnement feraient mieux de faire profil bas et de se trouver de bons avocats», prévenait le Premier ministre, samedi dernier, lors de la journée scientifique du Département de Sociologie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar sur le thème : «Plan Sénégal Emergent (Pse) et révolution des mentalités.» 

Publié dans La Une de la Presse

Le Premier ministre annonce que le gouvernement ne décélèrera pas la cadence de la traque des biens mal acquis. Mimi Touré conseille à certains dignitaires de l’ancien régime notamment, qui crient à l’«acharnement», de «se trouver de bons avocats».

La traque des biens mal acquis ne ralentira pas.

Publié dans La Une de la Presse

ENRICHISSEMENT ILLICITE - Aida Ndiongue mise en demeure vendredi

L'OBS - L’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue, sera obligée de prouver l’origine licite des 47 milliards FCfa découverts dans ses comptes. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est disposée à lui servir une mise en demeure vendredi prochain.

Il faudra beaucoup de chance à Aïda Ndiongue ou un retournement de situation extraordinaire pour qu’elle échappe à une mise en demeure de la de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) après demain vendredi. 

Publié dans La Une de la Presse

L'OBS - L’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue, sera obligée de prouver l’origine licite des 47 milliards FCfa découverts dans ses comptes. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est disposée à lui servir une mise en demeure vendredi prochain.

Il faudra beaucoup de chance à Aïda Ndiongue ou un retournement de situation extraordinaire pour qu’elle échappe à une mise en demeure de la de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) après demain vendredi. 

Publié dans La Une de la Presse

Aïda Ndiongue devra faire face à un autre front judiciaire. Après le procureur de la République, c’est le procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite qui s’intéresse à la fortune de la Libérale. En prison depuis décembre dernier, elle sera extraite de sa cellule vendredi, dit-on, pour recevoir sa mise en demeure.

Aïda Ndiongue atterrit à la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).

Publié dans La Une de la Presse

iGFM (Dakar) Le président de la république, Macky Sall a rompu le silence sur le rapport de la commission nationale des réformes institutionnelles (CNRI) déposé la semaine dernière par Amadou Makhtar Mbow et Cie. Depuis la Chine où il se trouve, le président Sall a indiqué qu’il ne prendra que ce qu’il jugera bon. Et par conséquent : « il n’y a lieu de polémiquer ».  Avant d’ajouter : « On ne peut pas me mettre la pression » a dit le président Macky Sall.

Publié dans La Une de la Presse
mardi, 18 février 2014 00:00

L'OBS du 18/02/2014 - Macky enterre la CREI

INDEX DE L'OBS

 

L'OBS - Farba Senghor

Le face-à-face entre l’ancien ministre Farba Senghor et le Doyen des juges d’instruction n’a pas eu lieu. Prévue hier à 15 heures, l’audition du chargé de la Propagande du Parti démocratique sénégalais a été reportée sine die. Farba Senghor qui était déterminé à se rendre au redouté cabinet de Mahawa Sémou Diouf a été ralenti par une note que lui aurait envoyé celui-ci pour déprogrammer la rencontre. Des sources proches du Cabinet ont soulevé un empêchement du magistrat instructeur. Mais ce faux bond ne signifie nullement que la rencontre est renvoyée aux calendes grecques. L’ancien ministre sous le régime libéral fera bien face au Doyen des juges Mahawa Sémou Diouf même si aucune autre date n’a encore été retenue. Ainsi, c’est toujours l’omerta sur les motifs de la convocation, puisque le concerné lui-même dit ignorer la raison pour laquelle il a reçu cette invitation de Mahawa Sémou Diouf.

 

Obus

Un obus, usé par le temps, mais non endommagé. C’est cet engin de guerre d’une grande capacité de nuisance, qui a été découvert vendredi dernier, au populeux quartier de Sam Notaire. A l’origine de cette trouvaille, un groupe de jeunes gens qui, s’adonnant à une partie de jeux, ont par inadvertance, creusé et mis la main sur cette bombe. Inconscient du caractère destructeur de cet engin, ils se sont mis à la scruter dans une ambiance bon enfant. C’est alors, renseignent nos sources, que des personnes bien au fait de la faculté nuisible de l’engin, s’en sont saisi et l’ont isolé.

Publié dans La Une de la Presse

La bataille de la Cour suprême est loin d’être terminée. La décision rendue par la Chambre de cassation sur demande des avocats de Karim Wade sera réexaminée car l’Etat, à travers le Parquet général près la juridiction suprême, a décidé de déposer une demande de rabat d’arrêt qui obligera les juges de la Cour de statuer sur l’arrêt de renvoi de l’affaire au Conseil constitutionnel.

La décision de soumettre à l’appréciation des «Cinq sages», la requête des avocats de Karim Wade portant sur l’illégalité des actes de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) par la Cour suprême  est loin de laisser les autorités étatiques indifférentes. Décision a été prise d’introduire une demande de rabat d’arrêt devant la Cour suprême. De sources judiciaires, le ministre de la Justice a tenu une réunion de coordination en ce sens, la semaine dernière, avec tous les chefs de Parquet, à l’issue de laquelle instruction a été donnée au procureur général près de la Cour suprême de déposer une requête de rabat d’arrêt auprès de la Chambre de cassation. Le but visé est d’obtenir l’annulation de la décision prise par la même chambre de renvoyer l’inconstitutionnalité de la Crei soulevée par les conseillers de Karim Wade devant le Conseil constitutionnel. La Cour suprême voit donc le dossier demeurer entre ses mains. Une fois le rabat d’arrêt sollicité, tous les juges de la juridiction suprême vont statuer à l’exception des magistrats qui ont rendu l’arrêt renvoyant l’affaire au Conseil constitutionnel. 
Il faut relever que toutes les poursuites enclenchées dans le cadre de la lutte contre l’enrichissement illicite seront remises en cause, si jamais le Conseil constitutionnel déclarerait anticonstitutionnelle la Crei et, en conséquence, les actes prises par sa Com­mission d’instruction. D’aucuns pensent que le renvoi décidé par la Cour suprême n’entre pas dans son domaine de compétences pour ne pas dire qu’elle a outrepassé ses prérogatives. Elle devrait tout simplement se déclarer incompétente.
 Cependant, des défenseurs des droits de l’Homme et de Karim Wade ont salué une décision «révolutionnaire» en ce sens qu’un des principes généraux qui gouverne la justice et reconnu par la Constitution en vigueur fait de  la possibilité de déposer un recours un droit inaliénable. Aucune juridiction ou loi ne devrait primer sur ce principe. Or, la loi portant création de la Crei dispose que les décisions prises par ladite juridiction ne sont susceptibles d’aucun recours.

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SOURCE: http://www.lequotidien.sn/index.php/la-une2/6571-cour-supreme-rebondissement-dans-laffaire-karim-wade--le-parquet-general-va-introduire-un-recours

 

Publié dans La Une de la Presse

DAKARACTU.COM Le moins que l'on puisse dire est que le sort semble s'acharner, grave même, sur l'ex sénatrice. 

Et pour cause ? Alors que son gratiné dossier qui lui vaut une incarcération est loin, bien loin même de connaître son épilogue avec des rebondissements à n'en plus finir, nous sommes en mesure de révéler qu'Aida Ndiongue a trimé  dur ce mardi matin. 
Figurez-vous que la bonne dame, a été extraite de sa cellule par une escouade de gardes pénitentiaires. Surprise, l'ex sénatrice qui faisait sa toilette sera alors extraite et conduite manu militari au tribunal de Dakar. N'en revenant pas, elle demandera sans cesse aux gardes l'objet de cette opération digne d'un commando, compte tenu du nombre impressionnant de matons. Mais elle n'aura point de réponse à ses interrogations. Conduite dans un premier temps à la cave du tribunal, Aida Ndiongue se verra notifier un DPAC, c'est à dire détenu(e) pour autre cause.
Publié dans PEOPLE

En défendant son budget devant l’Assemblée nationale en 2012, Aminata Touré alors garde des sceaux, ministre de la justice avait annoncé la volonté du gouvernement de dissoudre la Cour de répression de l’enrichissement illicite et la mise en place d’une nouvelle cour contre les crimes économiques et financiers. Le projet de loi qui modifie la loi n 81-54 du 10 Juillet 1981 créant une cour de répression de l’enrichissement illicite est fin prêt. ‘’L’observateur’’ livre ainsi ce qui va changer de la CREI devenue CRIEF. Un changement qui intervient au moment où le conseil constitutionnel se penche sur la constitutionnalité ou non de la CREI à l’origine de l’incarcération de Karim Wade.

Publié dans News