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Afficher les éléments par tag : Biens mal acquis

Hallucinant ! 47 milliards 675 millions de FCfa, c’est presque l’équivalent du budget du ministère de l’Intérieur en 2013. C’est la somme effarante en argent et bijoux en or et diamant que les enquêteurs ont trouvée dans les comptes et coffres de la baronne libérale, et ceci seulement après trois réquisitions faites par le juge d’instruction du 2ème cabinet. Troublant que partant des flux financiers, la Section de recherches ait débusqué entre le 7 janvier et hier une telle manne. Un total encore «provisoire» d’ailleurs, selon les termes du procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye avec au «Rôle» de sa conférence de presse la seule «affaire Aïda Ndiongue». Lisez les chiffres, mais attention, ça donne le tournis.

Publié dans La Une de la Presse

En attendant que le Procureur de la République livre le contenu du dossier qui lui vaut un séjour en prison, Aïda Ndiongue doit faire face à de nouveaux ennuis. En effet, depuis que plus de 22 milliards de francs Cfa et près de 4 milliards de francs en bijoux ont été découverts dans ses comptes (Voir Le Quotidien n° 3285 du 9 janvier 2014), l’administration fiscale nourrit de nouvelles intentions de recouvrement des impôts autrefois dus par les sociétés de Aïda Ndiongue. 

Publié dans PEOPLE

La Justice sénégalaise est saisie de poursuites pour détournement de deniers publics, escroquerie portant sur les deniers publics, enrichissement illicite ou encore de blanchiment d’argent. Autant de faits qui prouvent que le mal existe au point de fragiliser dangereusement l’économie du pays. Mais pour Macky Sall, quelle que soit la ténacité des délinquants financiers, la machine judiciaire fera face et ne fera montre d’aucun signe de faiblesse dans le combat pour l’éthique et la bonne gouvernance.

Publié dans La Une de la Presse

Des bijoux en or et en diamant et des colliers sertis de diamant, évalués tous par un célèbre bijoutier à 4 milliards de francs, ont été trouvés dans 6 des 7 coffres de l’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue, suite à une réquisition faite auprès de la Cbao par le juge du deuxième cabinet d’instruction, Samba Sall, dans le cadre du dossier des produits phytosanitaires, qui devaient être livrés au Plan Jaxaay. Le juge Sall, d’après des sources judiciaires, va poursuivre ses investigations auprès d’autres structures bancaires.

Publié dans La Une de la Presse
mercredi, 04 décembre 2013 00:00

TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS De Karim à Carmelo….

Déclenchée depuis mai 2012, avec la réactivation de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), la traque des biens supposés mal acquis est loin de connaitre son épilogue. Des responsables politiques de l’ancien régime  et des directeurs généraux de société ont été poursuivis, arrêtés et placés sous mandat de dépôt.

Karim Wade, ancien ministre d’Etat

Placé sous mandat de dépôt depuis le 17 avril 2013, l’ancien ministre d’Etat Karim Wade demeure en prison (Rebeuss), soupçonné d’enrichissement illicite portant sur un montant de 694 milliards de francs Cfa. Après une première mise en demeure  pour justifier prés de 700 milliards de son patrimoine, Karim Wade a reçu au mois de septembre 2013 une seconde mise en demeure des mains du procureur Alioune Ndao lui intimant de justifier 99 milliards que posséderait le fils de l’ancien président de la République.

 Baila Wane,Ex Dg de la Lonase

Publié dans La Une de la Presse

Alioune Ndao aurait découvert d’autres biens qui appartiendraient à Tahibou Ndiaye. Et il se dit que l’ex-directeur du Cadastre pourrait subir le sort de Karim Wade en se voyant coller une deuxième mise en demeure. Mais il devra d’abord, après sa garde à vue hier, être placé sous mandat de dépôt et purger 6 mois. Seul un coup de théâtre lui éviterait un tel scénario murmuré par le Parquet spécial.

Si Tahibou Ndiaye rejoint Re­beuss, il devra se soucier aussi d’une autre mise en demeure. De sources proches de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), le procureur spécial ne compte pas se limiter à la seule mise en demeure qui lui vaudrait, avec une éventuelle bénédiction de la commission d’instruction, six autres mois.

Publié dans La Une de la Presse

L’ancien directeur général du Port autonome de Dakar (Pad), Bara Sady, a été finalement placé sous mandat de dépôt hier, jeudi 28 novembre 2013. L’ex-patron du Port dont la gestion qualifiée de « calamiteuse » a été décriée aussi bien par des rapports de l’Ige que de la Cour des comptes, est poursuivi pour escroquerie de deniers publics et corruption active portant sur une somme de 48 milliards de Fcfa. Bara Sady partagera son sort avec Carmelo Sagna, l’ancien directeur général de la Société africaine de raffinage (Sar), qui est, lui, incriminé dans le cadre de l’affaire du fuel dit « frelaté » ayant éclaboussé la gestion de son entreprise.

Publié dans La Une de la Presse
mardi, 19 novembre 2013 00:00

TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS Me Wade lave Karim

 

En séjour actuellement en Côte d'Ivoire, Me Abdoulaye Wade s'est prononcé sur l'affaire Karim Wade, en affirmant sur les ondes de RFI que ce dernier a «commis le délit d'être fils d'un Président en Afrique »Pour lui, «La justice sera dite, un jour. Un jour, il sera déclaré innocent, je vous le promets parce qu'il n'a rien fait».

 

 «Ce qui lui (Karim Wade, ndlr) arrive, c’est d’avoir commis le délit d’être fils d’un Président en Afrique. C’est un délit. La preuve : il est en prison. Mais il comprend ça très-bien. La politique, c’est de l’injustice, c’est la force»., a déclaré sur les antennes de RFI, Me Abdoulaye Wade, ancien président de la République du Sénégal. Il soutient que son fils «supporte bien la prison, moi-même je l’ai supporté», a-t-il rassuré.

Publié dans La Une de la Presse

Me Olivier Sur, l’avocat français de Karim Wade, « ferait mieux de préparer la défense de son client au lieu de se livrer à des attaques inopérantes  et paternalistes contre la justice sénégalaise ». C’est le postulat public des députés de la majorité réunis au sein du groupe parlementaire Bennoo Bokk Yakaar, fustigeant ainsi le comportement de Karim Wade dont les avocats ont décidé que leur client ne déférera plus aux convocations de la Commission de répression de l’enrichissement illicite (Crei).

Publié dans La Une de la Presse

Le Sénégal passera cet après-midi devant le Conseil des droits de l’Homme de l’Onu. Devant l’Examen périodique universelle, il sera question de la traque des biens mal acquis, de la Crei, de l’homosexualité, de la torture dans les centres de détention. S’il arrive à convaincre les 47 Etats membres du Conseil, il y sera réadmis.

L’Examen période universelle (Epu) du Sénégal devant la 17e session du Conseil des droits de l’homme de l’Onu aura lieu ce lundi  à Genève. Prévu dans l’après-midi (15 à 17h), ce passage du Sénégal devant les 47 Etats qui composent ce conseil est très attendu par les autorités qui «afficheront» leurs efforts de défense et de promotion des droits de l’homme «sans tabous». 

Publié dans La Une de la Presse